La plateforme de trading obligataire d'Invivoo séduit BPI France

Presse

Invivoo - XComponent

vendredi 5 juin 2015

La plateforme de trading obligataire d'Invivoo séduit BPI France

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Invivoo - XComponent

vendredi 5 juin 2015

La plateforme de trading obligataire d'Invivoo séduit BPI France

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Invivoo - XComponent

vendredi 5 juin 2015

La plateforme de trading obligataire d'Invivoo séduit BPI France

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Invivoo - XComponent

vendredi 5 juin 2015

Difficile encore pour les gérants d’actifs de négocier de façon électronique des obligations d’entreprise. Invivoo leur propose une plate-forme de trading électronique très compétitive en termes de coûts, grâce à sa technologie de développement logiciel XComponent. Une technologie reconnue innovante par Bpifrance avec l’octroi d’un prêt de 450 000 euros.

« Notre plate-forme de trading obligataire est opérationnelle depuis avril 2015. Les prix s’affichent en temps réel et, en un clic, un ordre d’achat est effectué. Elle va être déployée chez des clients pilotes, gérants d’actifs, et connectée aux principaux marchés européens dont la France et l’Italie. En effet ce dernier est un marché particulièrement actif où les particuliers investissent dans les obligations d’entreprises, » détaille Guillaume Morel, président du groupe Invivoo, spécialisé en solutions logicielles pour le secteur financier.

Améliorer la liquidité du marché secondaire des obligations

Les banques d’investissement, du fait de la réglementation Bâle 3 et de rendements plus faibles, ne peuvent plus assurer la tenue de marché comme avant la crise financière de 2008. La liquidité des marchés obligataires s’en ressent. À tel point que la BCE s’en est émue dans l’édition de mai 2015 de sa revue de stabilité financière, soulignant que le manque de liquidité sur le marché secondaire des obligations d’entreprises représente une source de risque systémique. Pour l’Efama (European Fund and Asset Management Association), développer la liquidité implique le déploiement de plates-formes électroniques où peuvent se rencontrer directement émetteurs et/ou détenteurs d’obligations et investisseurs. « De telles plates-formes existent, comme BondMatch d’Euronext, mais les outils de connectivité sont encore trop chers et les interfaces peu ergonomiques, » souligne Guillaume Morel. L’activité des plates-formes existantes, développées dans le cadre du programme Cassiopée à l’initiative du haut comité de place de Paris, n’a pas vraiment décollé du fait… du manque de liquidité.

Une plate-forme très compétitive en termes de coûts d’accès

« Pour briser ce cercle vicieux, nous avons décidé de développer une toute nouvelle plate-forme très compétitive d’un point de vue tarifaire, avec une interface utilisateur digne du 21ème siècle, tout en respectant les standards de sécurité imposés par les autorités de régulation, » assure Guillaume Morel. Mais élaborer une telle plate-forme revient à développer de très nombreuses fonctionnalités, comme les référentiels de données, le passage d’ordres, l’accès aux marchés, et dont certaines assez complexes comme la construction des carnets d’ordres, sans parler des problématiques de sécurité. Le coût de développement informatique est donc primordial dans le modèle économique et par conséquent dans le coût d’utilisation. « En temps normal, une telle plate-forme nécessiterait deux ans de travail avec 5 personnes à temps plein. Nous l’avons mis au point en 10 mois avec 4 équivalents temps plein, » rapporte Guillaume Morel. Les coûts de connexion ont eux aussi été fortement abaissés. En règle générale, les connexions aux marchés pour ce type de plate-forme se font via des lignes spécialisées opérées par des opérateurs telecom, donc onéreuses, sans compter 10 à 12 semaines de déploiement et des durées d’engagement contraignantes. Les développeurs d’Invivoo, dirigés par Frédéric Carré, ont fait le choix de connexions Internet, forcément beaucoup moins chères, tout en satisfaisant aux critères de sécurité exigés.

La technologie XComponent facilite les développements informatiques

Le secret de fabrication d’Invivoo réside dans sa technologie de développement rapide de logiciels métiers : XComponent. Elle repose sur le principe des microservices. « Plutôt que de considérer une application comme un bloc monolithique, nous la décomposons en unités élémentaires communicant entre elles via des API (Interfaces de programmation). Ces API permettent également le dialogue entre les postes clients et le serveur où est hébergée la plate-forme de trading », détaille Frédéric Carré, directeur technique d’Invivoo. Cela revient donc à s’affranchir de la complexité globale d’un projet en développant de mini applications robustes et moins complexes car assurant une seule fonctionnalité. Au total, la plate-forme de trading obligataire regroupe une dizaine de microservices. « XComponent permet aux mêmes équipes de travailler côté serveur et poste client. Et, surtout, facilite le dialogue entre les développeurs et les spécialistes métiers » souligne Frédéric Carré. En effet XComponent permet de modéliser graphiquement la logique métier, comme le cycle de vie d’un ordre par exemple, graphique converti automatiquement en code informatique. XComponent gère également très facilement les liaisons Internet en Websocket, un protocole Internet évolué et sécurisé permettant d’adresser le temps réel car s’affranchissant d’interroger un serveur pour obtenir une réponse à une requête.

Une technologie jugée innovante par Bpifrance

« XComponent nous a permis de réaliser une interface utilisateur en client riche (automatiquement déployé sur le poste client et utilisant ses capacités graphiques), ce qui permet une meilleure ergonomie contrairement au client léger (limité par les capacités du navigateur Internet et du langage html), » renchérit Guillaume Morel. La souplesse de développement de XComponent va permettre, dans un second temps, de rajouter facilement de nouvelles fonctionnalités comme d’autres flux d’informations, des outils de post-trade … Un expert en informatique de Bpifrance a audité la technologie pour juger de son caractère innovant. Début 2015, Invivoo a obtenu de la part de l’établissement public de financement de l’innovation un prêt de 450 000 euros.

05/06/2015

INVIVOO

Difficile encore pour les gérants d’actifs de négocier de façon électronique des obligations d’entreprise. Invivoo leur propose une plate-forme de trading électronique très compétitive en termes de coûts, grâce à sa technologie de développement logiciel XComponent. Une technologie reconnue innovante par Bpifrance avec l’octroi d’un prêt de 450 000 euros.

« Notre plate-forme de trading obligataire est opérationnelle depuis avril 2015. Les prix s’affichent en temps réel et, en un clic, un ordre d’achat est effectué. Elle va être déployée chez des clients pilotes, gérants d’actifs, et connectée aux principaux marchés européens dont la France et l’Italie. En effet ce dernier est un marché particulièrement actif où les particuliers investissent dans les obligations d’entreprises, » détaille Guillaume Morel, président du groupe Invivoo, spécialisé en solutions logicielles pour le secteur financier.

Améliorer la liquidité du marché secondaire des obligations

Les banques d’investissement, du fait de la réglementation Bâle 3 et de rendements plus faibles, ne peuvent plus assurer la tenue de marché comme avant la crise financière de 2008. La liquidité des marchés obligataires s’en ressent. À tel point que la BCE s’en est émue dans l’édition de mai 2015 de sa revue de stabilité financière, soulignant que le manque de liquidité sur le marché secondaire des obligations d’entreprises représente une source de risque systémique. Pour l’Efama (European Fund and Asset Management Association), développer la liquidité implique le déploiement de plates-formes électroniques où peuvent se rencontrer directement émetteurs et/ou détenteurs d’obligations et investisseurs. « De telles plates-formes existent, comme BondMatch d’Euronext, mais les outils de connectivité sont encore trop chers et les interfaces peu ergonomiques, » souligne Guillaume Morel. L’activité des plates-formes existantes, développées dans le cadre du programme Cassiopée à l’initiative du haut comité de place de Paris, n’a pas vraiment décollé du fait… du manque de liquidité.

Une plate-forme très compétitive en termes de coûts d’accès

« Pour briser ce cercle vicieux, nous avons décidé de développer une toute nouvelle plate-forme très compétitive d’un point de vue tarifaire, avec une interface utilisateur digne du 21ème siècle, tout en respectant les standards de sécurité imposés par les autorités de régulation, » assure Guillaume Morel. Mais élaborer une telle plate-forme revient à développer de très nombreuses fonctionnalités, comme les référentiels de données, le passage d’ordres, l’accès aux marchés, et dont certaines assez complexes comme la construction des carnets d’ordres, sans parler des problématiques de sécurité. Le coût de développement informatique est donc primordial dans le modèle économique et par conséquent dans le coût d’utilisation. « En temps normal, une telle plate-forme nécessiterait deux ans de travail avec 5 personnes à temps plein. Nous l’avons mis au point en 10 mois avec 4 équivalents temps plein, » rapporte Guillaume Morel. Les coûts de connexion ont eux aussi été fortement abaissés. En règle générale, les connexions aux marchés pour ce type de plate-forme se font via des lignes spécialisées opérées par des opérateurs telecom, donc onéreuses, sans compter 10 à 12 semaines de déploiement et des durées d’engagement contraignantes. Les développeurs d’Invivoo, dirigés par Frédéric Carré, ont fait le choix de connexions Internet, forcément beaucoup moins chères, tout en satisfaisant aux critères de sécurité exigés.

La technologie XComponent facilite les développements informatiques

Le secret de fabrication d’Invivoo réside dans sa technologie de développement rapide de logiciels métiers : XComponent. Elle repose sur le principe des microservices. « Plutôt que de considérer une application comme un bloc monolithique, nous la décomposons en unités élémentaires communicant entre elles via des API (Interfaces de programmation). Ces API permettent également le dialogue entre les postes clients et le serveur où est hébergée la plate-forme de trading », détaille Frédéric Carré, directeur technique d’Invivoo. Cela revient donc à s’affranchir de la complexité globale d’un projet en développant de mini applications robustes et moins complexes car assurant une seule fonctionnalité. Au total, la plate-forme de trading obligataire regroupe une dizaine de microservices. « XComponent permet aux mêmes équipes de travailler côté serveur et poste client. Et, surtout, facilite le dialogue entre les développeurs et les spécialistes métiers » souligne Frédéric Carré. En effet XComponent permet de modéliser graphiquement la logique métier, comme le cycle de vie d’un ordre par exemple, graphique converti automatiquement en code informatique. XComponent gère également très facilement les liaisons Internet en Websocket, un protocole Internet évolué et sécurisé permettant d’adresser le temps réel car s’affranchissant d’interroger un serveur pour obtenir une réponse à une requête.

Une technologie jugée innovante par Bpifrance

« XComponent nous a permis de réaliser une interface utilisateur en client riche (automatiquement déployé sur le poste client et utilisant ses capacités graphiques), ce qui permet une meilleure ergonomie contrairement au client léger (limité par les capacités du navigateur Internet et du langage html), » renchérit Guillaume Morel. La souplesse de développement de XComponent va permettre, dans un second temps, de rajouter facilement de nouvelles fonctionnalités comme d’autres flux d’informations, des outils de post-trade … Un expert en informatique de Bpifrance a audité la technologie pour juger de son caractère innovant. Début 2015, Invivoo a obtenu de la part de l’établissement public de financement de l’innovation un prêt de 450 000 euros.

05/06/2015

INVIVOO